« Allégé en sucre », « sans sucre », le secteur de la grande distribution raffole de ces mentions sur leurs packagings. Mais ces produits sont-ils aussi pauvres en sucre qu’ils le promettent ?
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) préconise une consommation de moins de 10% de sucre libres. Parmi eux, l’édulcorant, connu pour réduire la teneur en sucre, tout en maintenant le goût sucré. On le retrouve dans les sodas ou autres produits dit » Light » ou encore » Diet « .
Des études menées par des chercheurs spécialistes en épidémiologie nutritionnelle notamment les équipes de l’EREN, l’INSERM ou encore le CNAM, nous on permis de mettre en lumière les effets de ces sucres lents notamment les édulcorants sur l’être humain. On apprend au travers de ces études que l’aspartame à un pouvoir sucrant 200 fois plus élevé que le sucre avec cependant un taux de calorie moindre. Ces additifs présentent des risques plus élevés pour la santé, notamment dans les cas de cancers du sein selon l’INSERM.
De plus, les études prouvent que pour les consommateurs d’aliments et boissons contenants ces édulcorants (l’aspartame et de l’acésulfame-K) les risques de développer un cancer sont plus élevé, et cela qu’il s’agisse d’un fumeur, ou non; d’une personne ayant une bonne activité sportive, ou non.